Une bonne alimentation pour nos résidents

Il va sans dire que bien manger est un des points clés d’une bonne santé, surtout avec l’âge. Lorsqu’on vieillit, fini les excès, les fast-foods, l’alcool, etc., il faut apprendre à manger sainement et s’en tenir à une alimentation bien dosée. Dans nos maisons de retraite des Alpes-Maritimes nous veillons à respecter les besoins alimentaires de tous nos résidents au cas par cas, c’est un des leviers de leur santé.

Salade et fruit pour un repas.
https://pixabay.com/fr/photos/salade-fruits-baies-sant%C3%A9-2756467/

Continue reading “Une bonne alimentation pour nos résidents”

« L’âge fragile » ou le quotidien d’une infirmière en EHPAD

En 2018 est paru aux éditions ateliers Henry Dougier le livre de Valérie Mollière, une infirmière coordinatrice qui dépeint son quotidien en établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes, appelés ehpad. Ce livre est un témoignage parfois touchant d’une personne investie qui démontre que les clichés et les idées reçues que l’on entend sur ces établissements ne les concerne vraiment pas tous, bien au contraire.

Infirmière tenant la main d'une personne âgée.
https://pixabay.com/fr/photos/hospice-main-dans-la-main-1793998/

Continue reading “« L’âge fragile » ou le quotidien d’une infirmière en EHPAD”

Découvrez les bienfaits des jardins thérapeutiques

Certains résidents de nos ehpad dans le 06 ont la chance de pouvoir passer du temps une à plusieurs fois par mois dans un jardin thérapeutique. En effet, des études le démontrent de plus en plus chaque année, les plantes ont un effet thérapeutique bien réel : c’est ce qu’on appelle l’hortithérapie. Il s’agit d’une forme non-médicamenteuse de thérapie, qui, lorsqu’elle accompagne les traitements, aide les malades à surmonter leurs problèmes.

Jardinage
https://pixabay.com/fr/photos/plantation-jardinage-fleurs-plantes-865294/

Continue reading “Découvrez les bienfaits des jardins thérapeutiques”

Atelier pâtisserie pour nos aînés : préparation d’un quatre-quarts

Quand il s’agit de le déguster, le quatre-quarts fait toujours l’unanimité à l’heure du goûter. Sa grande force est d’être facile à préparer. C’est ce que les résidents de l’Ehpad Sainte Juliette à Cagnes-sur-Mer ont pu remarquer lors d’un atelier cuisine en avril dernier au cours duquel ils ont réalisé cette excellente pâtisserie bretonne.

Personne préparant farine et sucre

Une recette de gâteau séculaire

L’origine du quatre-quarts serait nord-européenne et remonterait aux débuts des années 1700. Son nom vient des quatre ingrédients le constituant en parts égales : le sucre, les œufs, la farine et le beurre.

Il est temps de s’y mettre !

On commence par préparer les ingrédients en prenant comme référence le poids des œufs. En prenant le même poids pour chacun, vous aurez ainsi un quart de farine, un quart de sucre et un quart de beurre fondu.

Beurrer le moule à cake

Ici, pendant que notre cuisinière à la retraite beurrait le fond du moule à cake pour éviter que le gâteau n’accroche, les autres participants ont mélangé les quatre ingrédients dans un saladier. Après 50 minutes au four, le gâteau est ressorti parfaitement cuit et prêt pour la dégustation.

Généralement, il est meilleur consommé le lendemain et de nombreuses recettes incluent des zestes d’agrumes ou des gousses de vanille pour le parfumer, c’est selon les envies !

Qu’est-ce que le plan bleu mis en place dans les EHPAD ?

En cas d’événements imprévisibles, inhabituels ou graves, l’État a mis en place les plans « blancs » pour les hôpitaux et les plans « bleus » pour les établissements médico-sociaux. En résumé, le plan bleu est un outil détaillant un ensemble de modalités à suivre en cas de crise sanitaire ou climatique . Il permet notamment une rapidité d’exécution pour faire face à une urgence ou à une situation exceptionnelle comme celle que nous vivons actuellement. Notre réseau d’EHPAD et de résidences de retraite tient à vous en informer et vous rassurer quant aux moyens mis en œuvre pour traverser cette crise sanitaire du mieux possible.

Distanciation physique

Quand a-t-il été créé ?

En 2003 a eu lieu une canicule exceptionnelle ayant entraîné près de 15 000 décès. À la suite de cette dernière, un arrêté ministériel a été décrété. Ce dernier stipule que les établissements hébergeant des personnes âgées doivent rédiger un plan de gestion de crise, le fameux « plan bleu ». Le cahier des charges à suivre est imposé par cet arrêté signé le 7 juillet 2005 et a été étendu aux EHPAD ainsi qu’aux établissements accueillant des personnes souffrant de handicap.

À quel moment est-il mis en place ?

Un plan bleu ne se déclenche pas sur un claquement de doigts mais généralement à la suite d’un événement important ayant lieu dans un département. Dès lors, le préfet peut activer un plan de secours. L’Agence régionale de santé (ARS) va se charger d’alerter les établissements concernés. Après cette annonce, les directeurs des établissements de santé déclenchent le plan bleu.

Les incidents pouvant déclencher cette suite de décisions sont nombreux. Il s’agit surtout d’événements sanitaires ou environnementaux pouvant causer une menace pour la santé publique. En ce moment, nous vivons une de ces menaces et l’affrontons avec courage et détermination. Nos ainés sont confinés et, depuis le 11 mars 2020, les visites dans les Ehpad sont interdites. C’est un des effets du plan bleu qui a été déclenché le 6 mars 2020. Le 28 mars, les personnes âgées placées dans les établissements médico-sociaux ont été isolées dans des chambres individuelles suite à la demande d’Olivier Véran, ministre de la Santé.

Qu’implique un plan bleu ?

Comme évoqué plus en amont, un plan, lorsqu’il est déclenché, requiert de remplir un cahier des charge qui devra être respecté scrupuleusement.

Déjà, un plan bleu implique la désignation d’une personne référente. Cette dernière sera responsable de la situation en période de crise dans l’établissement. Elle peut être le directeur, un médecin, ou un coordonnateur. À la suite de cela, des règles de bonnes pratiques à destination du personnel sont mises en place. Un protocole sur les modalités d’organisation en cas de déclenchement du plan d’alerte est également divulgué. Le plan indique s’il est appliqué à l’échelle nationale, régionale ou départementale.

Ensuite, parmi les préconisations à suivre, se trouvent celles concernant le confinement des résidents, des usagers et du personnel. Dans les cas où le confinement est nécessaire, comment doit-il être mis en place ? Pour l’épidémie actuelle, les visites sont interdites dans les EHPAD. De plus, les résidences renforcent les mesures en proposant, par exemple, des sas de décontamination ou le maintien des portes fermées.

Enfin, un plan bleu peut prendre en compte l’évacuation du personnel ou des résidents en cas de contamination.

En bref, le plan bleu permet d’anticiper les risques sanitaires ou environnementaux en créant une marche à suivre pour les aborder efficacement. Il permet ainsi d’améliorer la réactivité des établissements en réfléchissant à toutes les dispositions à prévoir pour préserver le bien-être et la santé des résidents.

Le massage et ses bienfaits chez nos seniors

En plus d’être agréable, le massage comporte également de nombreuses vertus thérapeutiques validées. Dans nos maisons de retraite des Alpes-Maritimes, les résidents ont la possibilité de rencontrer un masseur plusieurs fois par mois pour leur bien-être. Pourquoi les seniors l’apprécient autant ?

Massage d'une personne au trapèze
https://pixabay.com/fr/photos/physio-physiologie-massage-aller-1778029/

Se réapproprier son corps

Le massage est utile pour rétablir le contact avec son corps. La stimulation des différentes parties du corps développe en effet la conscience sensorielle. Cette méthode de relaxation agit aussi sur les peurs et les angoisses. Pour les personnes âgées, ce moment de détente privilégié leur permet de mieux affronter certaines situations éprouvantes pour leur corps comme porter les courses, prendre les transports en commun, etc.

En outre, en vieillissant, le corps change et s’adapte moins rapidement. Les massages sont l’occasion idéale pour apprivoiser de nouveau son corps et apprendre à vivre avec ses faiblesses.

Pour un bien-être physique

Les masseurs, ostéopathes ou encore kinésithérapeutes établissent une relation de confiance avec les personnes qu’ils soignent. Cela a pour effet d’ouvrir plus facilement le dialogue. Les thérapeutes sont donc à l’écoute des réactions pour accompagner un « lâcher prise ». En outre, ils aident les seniors à lutter contre des désagréments physiques qu’ils ont au quotidien comme les maux de dos, les jambes lourdes, etc. Ces maux soignés, les personnes âgées reprennent gout à la vie et aux activités et ont un meilleur sommeil.