En novembre, les résidents de l’Ehpad du groupement Senectis la Brise des Pins ont eu la chance de faire travailler leurs cerveaux avec divers ateliers.
Continue reading “Les ateliers cognitifs de la Brise des Pins”
En novembre, les résidents de l’Ehpad du groupement Senectis la Brise des Pins ont eu la chance de faire travailler leurs cerveaux avec divers ateliers.
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Les mois de juillet et d’août sont très certainement ceux les plus chauds de l’année en France. Dans les Alpes-Maritimes, la métropole de Nice reconduit le plan canicule jusqu’au 15 septembre qui permet de réagir plus rapidement en cas d’alerte. Dans nos Ehpad et maisons de retraite Senectis, nous mettons en place un certain nombre de mesures pour protéger nos résidents particulièrement vulnérables aux pics de chaleur.
Les gestes qui permettent d’aider nos proches âgés sont nombreux. Dans un premier temps, il faut savoir que les personnes âgées ne ressentent pas, ou dans une moindre mesure, la sensation de soif. Par conséquent, il est important de trouver des combines pour qu’elles s’hydratent régulièrement. Potages frais ou sirops sont autant de bonnes idées qui leur donnent envie de boire.
Entre onze et seize heures, le soleil est au zénith. Il est donc indispensable de ne pas sortir pendant ces heures les plus chaudes car le risque d’insolation, de coups de soleil ou de déshydratation est beaucoup plus élevé.
De même, rester dans les espaces frais ou à l’ombre est préférable tant que le soleil est haut dans le ciel.
Un bon repas permet de garder de l’énergie pour que le corps puisse faire face à d’éventuelles attaques, comme la chaleur intense. Dans nos Ehpad maralpins, les repas sont adaptés à la saison par des nutritionnistes agréés afin que nos résidents souffrent le moins possible de la chaleur.
Dans un article précèdent nous présentions le dispositif MAIA et ses enjeux. Pour mieux comprendre ce dispositif il est utile de savoir ce que sont les outils mis en place et la façon dont ils le sont. Pour rappel, le dispositif MAIA aide les personnes âgées en perte d’autonomie en les accompagnant dans les démarches, souvent lourdes, qu’ils ont avec les différents organismes comme les ehpad, les CCAS et tant d’autres.
En 2008, la caisse nationale de solidarité pour l’autonomie a créé un dispositif du nom de MAIA, « Méthode d’Action pour l’Intégration des services d’aide et de soins pour le champ de l’Autonomie ». Les résidents des unités Alzheimer notamment, dans nos ehpad de la région PACA, en bénéficient.
Continue reading “Qu’est-ce que le dispositif MAIA qui aide les personnes âgées ?”
Les loisirs sont plus qu’importants pour les personnes âgées qui deviennent dépendantes ou qui perdent de leur autonomie. Des ateliers créatifs, de cuisine, d’art ou de jeux sont mis en place dans nos maisons de retraite et nos EHPAD dans le 06 afin de les accompagner et les aider à affronter cette perte d’autonomie. Il peut apparaître difficile de pratiquer des loisirs avec des malades souffrant d’Alzheimer ou d’autres maladies neurodégénératives mais voici quelques astuces que nous mettons en place et qui ont fait leurs preuves.
En cas d’événements imprévisibles, inhabituels ou graves, l’État a mis en place les plans « blancs » pour les hôpitaux et les plans « bleus » pour les établissements médico-sociaux. En résumé, le plan bleu est un outil détaillant un ensemble de modalités à suivre en cas de crise sanitaire ou climatique . Il permet notamment une rapidité d’exécution pour faire face à une urgence ou à une situation exceptionnelle comme celle que nous vivons actuellement. Notre réseau d’EHPAD et de résidences de retraite tient à vous en informer et vous rassurer quant aux moyens mis en œuvre pour traverser cette crise sanitaire du mieux possible.
En 2003 a eu lieu une canicule exceptionnelle ayant entraîné près de 15 000 décès. À la suite de cette dernière, un arrêté ministériel a été décrété. Ce dernier stipule que les établissements hébergeant des personnes âgées doivent rédiger un plan de gestion de crise, le fameux « plan bleu ». Le cahier des charges à suivre est imposé par cet arrêté signé le 7 juillet 2005 et a été étendu aux EHPAD ainsi qu’aux établissements accueillant des personnes souffrant de handicap.
Un plan bleu ne se déclenche pas sur un claquement de doigts mais généralement à la suite d’un événement important ayant lieu dans un département. Dès lors, le préfet peut activer un plan de secours. L’Agence régionale de santé (ARS) va se charger d’alerter les établissements concernés. Après cette annonce, les directeurs des établissements de santé déclenchent le plan bleu.
Les incidents pouvant déclencher cette suite de décisions sont nombreux. Il s’agit surtout d’événements sanitaires ou environnementaux pouvant causer une menace pour la santé publique. En ce moment, nous vivons une de ces menaces et l’affrontons avec courage et détermination. Nos ainés sont confinés et, depuis le 11 mars 2020, les visites dans les Ehpad sont interdites. C’est un des effets du plan bleu qui a été déclenché le 6 mars 2020. Le 28 mars, les personnes âgées placées dans les établissements médico-sociaux ont été isolées dans des chambres individuelles suite à la demande d’Olivier Véran, ministre de la Santé.
Comme évoqué plus en amont, un plan, lorsqu’il est déclenché, requiert de remplir un cahier des charge qui devra être respecté scrupuleusement.
Déjà, un plan bleu implique la désignation d’une personne référente. Cette dernière sera responsable de la situation en période de crise dans l’établissement. Elle peut être le directeur, un médecin, ou un coordonnateur. À la suite de cela, des règles de bonnes pratiques à destination du personnel sont mises en place. Un protocole sur les modalités d’organisation en cas de déclenchement du plan d’alerte est également divulgué. Le plan indique s’il est appliqué à l’échelle nationale, régionale ou départementale.
Ensuite, parmi les préconisations à suivre, se trouvent celles concernant le confinement des résidents, des usagers et du personnel. Dans les cas où le confinement est nécessaire, comment doit-il être mis en place ? Pour l’épidémie actuelle, les visites sont interdites dans les EHPAD. De plus, les résidences renforcent les mesures en proposant, par exemple, des sas de décontamination ou le maintien des portes fermées.
Enfin, un plan bleu peut prendre en compte l’évacuation du personnel ou des résidents en cas de contamination.
En bref, le plan bleu permet d’anticiper les risques sanitaires ou environnementaux en créant une marche à suivre pour les aborder efficacement. Il permet ainsi d’améliorer la réactivité des établissements en réfléchissant à toutes les dispositions à prévoir pour préserver le bien-être et la santé des résidents.
En plus d’être agréable, le massage comporte également de nombreuses vertus thérapeutiques validées. Dans nos maisons de retraite des Alpes-Maritimes, les résidents ont la possibilité de rencontrer un masseur plusieurs fois par mois pour leur bien-être. Pourquoi les seniors l’apprécient autant ?
Le massage est utile pour rétablir le contact avec son corps. La stimulation des différentes parties du corps développe en effet la conscience sensorielle. Cette méthode de relaxation agit aussi sur les peurs et les angoisses. Pour les personnes âgées, ce moment de détente privilégié leur permet de mieux affronter certaines situations éprouvantes pour leur corps comme porter les courses, prendre les transports en commun, etc.
En outre, en vieillissant, le corps change et s’adapte moins rapidement. Les massages sont l’occasion idéale pour apprivoiser de nouveau son corps et apprendre à vivre avec ses faiblesses.
Les masseurs, ostéopathes ou encore kinésithérapeutes établissent une relation de confiance avec les personnes qu’ils soignent. Cela a pour effet d’ouvrir plus facilement le dialogue. Les thérapeutes sont donc à l’écoute des réactions pour accompagner un « lâcher prise ». En outre, ils aident les seniors à lutter contre des désagréments physiques qu’ils ont au quotidien comme les maux de dos, les jambes lourdes, etc. Ces maux soignés, les personnes âgées reprennent gout à la vie et aux activités et ont un meilleur sommeil.
Les chutes sont relativement fréquentes chez les personnes âgées et peuvent entraîner des complications sévères. La conséquence la plus fréquente est une perte d’autonomie momentanée, temporaire ou définitive suivant la gravité de la blessure. Chaque année c’est une personne de plus de 65 ans sur trois qui en serait victime. Selon l’INPES, 46 % de ces chutes ont lieu dans la salle de bain. Pourtant, réaliser quelques aménagements dans sa salle de bain peut considérablement réduire le risque de tomber. Retrouvez dans cet article nos conseils applicables dans un EHPAD, en maison de retraite ou chez soi.
Séparons les salles de bains en deux catégories, celles avec une baignoire et celles avec une douche.
Créer un environnement sûr avec une baignoire est plus difficile matériellement. Globalement, l’objectif est de faciliter l’entrée dans la baignoire et d’installer tous les éléments nécessaires pour se baigner confortablement. Cela peut s’apparenter à un marchepied pour accéder plus facilement à la baignoire, un tapis de bain antidérapant, une barre d’appui ou encore un siège de bain pour être assis pendant la toilette.
La meilleure solution quoique onéreuse est de remplacer sa baignoire par une douche à l’italienne. Plusieurs EHPAD Senectis ont choisi cette option. Mais là aussi il faut prendre quelques précautions. Par exemple, pensez à installer une chaise de douche si la personne âgée éprouve des difficultés à rester debout pendant la toilette. Une barre d’appui peut également être utile pour faciliter et assurer ses déplacements.
Si cela demande un peu d’investissement, il est donc bel et bien possible d’adapter sa salle de bain à une personne âgée. D’autres améliorations peuvent être apportées dans une salle de bain en maison de retraite ou en EHPAD comme choisir un éclairage adapté ou encore installer des bandes antidérapantes sur toutes les surfaces où le risque de chute est plus élevé. Contactez notre équipe pour en savoir plus sur nos prestations au sein de nos établissements.
Passé un certain âge, la lecture devient plus difficile. Certaines maladies peuvent aussi priver des capacités de langage, temporairement ou non. Les personnes que nous accueillons dans nos maisons de retraite des Alpes-Maritimes présentent parfois des pathologies telles que la maladie d’Alzheimer ou de Parkinson. Notre mission est de les accompagner pour les aider à mieux vivre avec les symptômes. Cela peut passer par des jeux de société dont voici une liste non exhaustive.
Il en existe de toutes les difficultés, formes et sur de nombreux thèmes différents. Certains peuvent représenter des animaux, d’autres des paysages. Y jouer apporte de nombreux bienfaits comme le fait de stimuler la réflexion et la représentation géométrique.
Idéal car tout le monde connait les règles, le jeu des petits chevaux est un grand classique de nos maisons de retraite. Bien qu’il n’est pas nécessaire de parler ou de lire, manipuler les dés et les objets stimulent l’orientation dans l’espace. Se jouant à plusieurs, il développe également les liens sociaux.
Ces jeux offrent une stimulation ludique accessible à tous car il n’y a pas besoin de lire les chiffres mais seulement de repérer les formes identiques. Cela permet de développer la concentration des personnes âgées atteintes de troubles de l’attention.
Les règles du puissance 4 sont très simples et les parties sont très courtes. Ce jeu fait appel à plusieurs capacités mentales. Cela favorise le développement de l’orientation dans l’espace, de la réflexion et de la concentration brève.
La maladie d’Alzheimer n’épargne personne et fait partie du quotidien de nos maisons de retraite des Alpes-Maritimes. C’est pourquoi nous attachons de l’importance à mieux comprendre son fonctionnement afin d’accompagner nos patients et leurs proches de la meilleure manière.
De nombreuses études cherchent à comprendre comment fonctionnent les maladies neurodégénératives telles qu’Alzheimer. Pour essayer de saisir la complexité du cerveau, il est utile de comparer des patients dont on a la certitude que la construction neuronale s’est faite différemment. C’est pourquoi les chercheurs s’intéressent à l’évolution de la plasticité du cerveau de personnes parlant plusieurs langues.
Continue reading “Alzheimer et le bilinguisme, qu’est ce que ça change ?”